Dans une équipe en pleine restructuration avec une volonté de reconstruire avec de jeunes joueurs, les Brooklyn Nets disposent pour ce faire de nombreux actifs tels que le nombre conséquent de 1er tour de Draft (17 premiers tours de Draft jusqu’en 2031) mais aussi des contrats vétérans comme monnaie d’échange tels que celui de Dorian Finney-Smith et Cameron Johnson. Et ce dernier selon Brian Lewis du New York Post, intéresserait de nombreuses franchises.
Cam Johnson est actuellement assis sur un contrat de 4 ans avec une échéance en 2027 d’une valeur globale de 94.5 millions de dollars. La dégressivité de son salaire sur les 2 dernières années ajoute un attrait certain pour le joueur en plus de sa qualité intrinsèque, bien entendu. L’ailier de 28 ans va entamer ces 2 dernières années à 45.2 millions de dollars contre 49.3 millions de dollars sur ses 2 premières années de contrat.
Les Kings, le Magic, les Lakers, les Warriors, les Raptors et les Spurs sont cités par le journaliste du NY Post comme les franchises intéressaient par le profil du joueur à savoir un ailier fort de 28 ans mesurant 2.03 mètres capable d’être adroit aux shots. Sur ces 5 saisons NBA, ce choix n°11 de la Draft 2019 affiche une adresse de 44.7% aux tirs et 39.2% à longue distance. Cam Johnson a terminé la saison régulière 2023-2024 avec des moyennes de 13.4 points, 4.3 rebonds, et 2.4 passes décisives, le tout en 58 matchs.
Avec Keldon Johnson comme monnaie d’échange, les San Antonio Spurs seraient à en croire le NY Post, un sérieux prétendant pour faire venir Cam Johnson dans le Texas. Keldon Johnson est un jeune ailier de 24 ans qui a fréquemment réussi à avoir un impact dans le jeu en sortie de banc avec Gregg Popovich. Ce joueur n’a été que 27 fois titulaires en 69 matchs et a tout de même collecté de bonnes moyennes avec 15.7 points, 5.5 rebonds, 2.8 passes décisives et une adresse aux tirs de 45.4%. En basculant chez les Nets, Keldon Johnson pourrait y trouver une place dans le 5 de départ aux côtés de Dennis Schroder, Cam Thomas, Dorian Finney-Smith et Nic Claxton.
Sources : Brian Lewis – New York Post